Chu de che / Je suis d'ici / Sono di qui / Ich bin von hier ! Notre liberté ne nous a pas été donnée, mais combattue et priée par nos ancêtres plus d'une fois! Aujourd'hui, comme autrefois, notre existence en tant que peuple libre dépend du fait que nous nous battions pour cela chaque jour. Restez inébranlable et soyez un gardien de la patrie pour que nous puissions remettre une Suisse libre telle que nous la connaissions à la génération suivante. Nous n'avons qu'une seule patrie!

jeudi 19 octobre 2017

Deux tiers des Suisses énervés par leur voisin




Deux tiers des Suisses ont un voisin qui les énerve, selon un sondage publié jeudi par Comparis.ch. Le bruit, la froideur ou l'antipathie, la fumée de cigarette et les disputes au sujet de la buanderie sont à l'origine de leur irritation.

Pour un petit tiers des personnes interrogées (28%), les nuisances sonores des voisins sont en cause: bruit généré par les conversations, par les enfants, la musique ou les fêtes. En moyenne, plus d'une personne sur dix (12%) se dispute plusieurs fois par an avec un voisin.

Surtout les jeunes

Parmi les autres sources de conflit évoquées figurent la froideur ou l'antipathie des voisins (16%), les effluves de cigarette sur le balcon ou dans la cage d'escalier (14%) et les disputes concernant la buanderie commune (13%). La curiosité énerve en outre 12% des personnes interrogées. Ce sont avant tout les jeunes qui ont quelque chose à redire quant à leurs voisins, relève Comparis dans un communiqué.

Lorsque surviennent les nuisances, un tiers des sondés (31%) demandent «gentiment» s'il est possible d'y mettre un terme, tandis qu'un quart d'entre eux (27%) ne font rien. Quelque 14% des personnes interrogées se plaignent auprès du bailleur si les perturbations sont récurrentes.

Taper contre le mur ou le plafond

Quant à la technique consistant à taper contre le mur ou le plafond, elle est employée par 7% des Suisses. Soit à peine plus que l'abandon - boules Quies ou écouteurs à l'appui - auquel se résolvent 6% des sondés.

Une personne ayant eu un conflit de voisinage sur six a fini par déménager, indique encore le sondage. Mais une autre option se voit utilisée dans des proportions semblables: activer la justice. Environ 15% des personnes interrogées ont réglé un différend devant le tribunal.

Cette enquête a été menée en septembre, auprès d'un échantillon représentatif de 1029 personnes dans toute la Suisse, par l'institut innofact.

ATS